Reverie

INFO
2018 – PS4/PS VITA
Genre – RPG Zelda-like
Joueur – Solo
Développeur – Rainbite
Éditeur – Rainbite
PEGI 7
Testé sur PS4

Fermez les yeux.
Imaginez une île néo-zélandaise fictive avec plein d’histoires et de légendes à raconter.
Une plage et des hommes en slip de bain.
Tout est calme.
Imaginez cet univers en pixel avec une vue du dessus. Oui comme dans Zelda a Link to the past. Ajoutez des donjons, des quêtes secondaires et une pointe de challenge.
Respirez.
Imaginez des plumes à collectionner, des zones à découvrir et des ambiances différentes en chaque lieu.
Prenez un shot de nostalgie.
Cette merveille s’appelle Rêverie.
Ça fera 13€ s’il-vous-plaît.
Comment ça la séance est trop courte ?
On peut pas tout avoir mon bon monsieur.
Mais moi aussi je vous emmerde.

L’île de la tentation
Casquette vissée sur la tête, notre jeune héros Tai arrive sur l’île Toromi pour voir ses grand-parents. Il apprend par la même occasion la légende de l’île. Cette dernière fait d’ailleurs référence à Maui et le poisson géant. Raconter la légende tiendrait purement et simplement du spoil. Tai va devoir lever « une malédiction » et je me refuse de vous en dire plus. Une histoire qui se suit de manière passionné et passionnante jusqu’à la fin de l’aventure. Les développeurs vont bien au delà du simple prétexte pour nous faire crapahuter dans l’île. Tout sonne juste, le tout confirmé par des easter-egg des plus malin. Le tout va donc se jouer comme un Zelda sur Super Nintendo et c’est trop top super génial.

 

C’est beau vu d’en haut
Hommage à Zelda oblige, on retrouve toutes les caractéristiques graphiques qui ont fait le succès du jeu d’aventure made in Nintendo. La carte regorge de détails, de zones à débloquer, de quêtes secondaires à accomplir et de PNJ avec qui discuter. L’accès à notre inventaire est facile et la répétition des touches pour ne pas se méprendre en haut à gauche de l’ATH conserve éternellement son efficacité. Les environnements sont soignés. Quand on pense que le jeu à été développé par trois personnes. Non, je ne le répéterai pas et vous avez parfaitement lu. Je vais tortiller des fesses en remarquant que certains lieu manquent de vie.

Un yo-yo pour les gouverner tous
Ici, pas d’épée ni d’armure mais des « armes » original avec chacune des fonctions bien précises. Il faudra donc toutes les maîtriser pour cumuler les logiques de progression. Ceci se vérifiera bien évidemment dans les donjons. C’est intelligent dans le sens où aucune arme ne reste sur le carreau du début jusqu’à la fin de l’aventure.

 

Une jouabilité inoxydable
La jouabilité est immédiate. Pas de chichi. Tai répond au pouce et à l’œil. Encore une fois, c’est de l’excellent travail.

 

Tous tes paragraphe font faire cette longueur ?
Point important de ce genre de jeu : la musique. Une fois de plus, rien à dire. Un souffle d’aventure nous fracasse la gueule. Tous les thèmes ne se valent pas mais ils sont tous dans la moyenne haute de ce genre de production.

Et la durée de vie ?
J’ai plié le jeu en 5h sans faire toutes les quêtes annexes. C’est pas énorme mais vu le prix du jeu, le rapport qualité-prix est excellent.

 

Reverie est un petit diamant brut. L’hommage à Zelda est bien là. Une vague de bonheur.
EXCEPTIONNEL

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