Auteur – Thomas Dupont, Jérémy Fraile, Yohan Servais
Illustrations – Guillaume Bernon & Jeanne Landart
Editeur – Blackrock Games
Nombre de joueurs – 1 à 6
Thème – Narratif
Quérako Cartaventura ?
Si vous n’avez jamais joué à un Cartaventura, sachez que Cartaventura c’est simple : des cartes, une aventure, une histoire avec plusieurs fins possibles. Pas de mise en place, vous découvrez le fonctionnement avec les deux premières cartes. Et après ? Vous vous laissez glisser, vous lisez l’histoire qui s’écrit devant vous. Vous faites des choix, allez-vous aider cet homme ou le laisser faire de la merde dans son coin ? Cela aura une incidence. Vous avez 5 fins différentes et cela vous promet de belles parties.
Les cartes sont bien fabriquées, suffisament solides pour être manipulées et c’est bien ce qu’on leur demande. La boîte est à la bonne taille, pas de place perdue, pas de carton en trop : on aime. C’est transportable facilement et c’est bien agréable, pour faire découvrir à mamie un dimanche après-midi ou avec des potes dans un bar. Ca s’explique en 2 minutes, bref, beaucoup de qualité pour cette série.
Hollywood ?
Ici, le scénario nous plonge dans l’Amérique des années 30, celle de la prohibition et du cinéma. Vous incarnez Jimmy, un ouvrier de la côte est qui se rêve en Chaplin. C’est décidé il plaque tout et part à l’Ouest.
Si vous arriverez à votre première fin en 30 à 40 min, vous trouverez un scénario captivant et fort bien écrit. Tout est cohérent, pas de temps mort, vous êtes complètement dans l’ambiance et les références cinématographiques malignes vous aideront à rester immergés.